Nouvelles énergies / Nouvelle économie

Publié le par Grégoire

L'après-pétrole !
 
 
L’économie de demain est déchirée entre économie de l’immatériel et économie d’une nouvelle énergie. Si les groupes pétroliers s’interrogent sur leur avenir, et que les Etats font des paris sur l’avenir entre nucléaire et hydrogène (La fée hydrogène énergie de demain, de Yan de Kerorguen, La Tribune), ces deux stratégies ne sont que des stratégies à moyen-long termes car très dépendantes des métaux que sont l'uranium et le platine – sans compter l’énergie qui serait à terme du nucléaire ou de l’énergie renouvelable. Toutes ces solutions mettent en évidence une profonde mutation de nos économies à moyen terme et de nos façons de vivre. En outre, ces solutions ne sont nullement des solutions viables dans une lecture de la survie du modèle économique de nos sociétés de consommation. En effet, après le pétrole, l’uranium et le platine, que restera-t-il ? Rien. Il faudrait penser à longue échéance et voir si le solaire intra ou extra atmosphérique est viable, dans son rapport coût énergétique de construction / apport en énergie. Il faudrait également envisager la fusion thermonucléaire, seule solution pour la fin de la dépendance énergétique, avec un coût de pollution résiduelle qui perdure. Il en ressort qu’aucune étude internationale n’a clairement mis en place des comparaisons de ratios "dépendance énergétique de construction sur l’apport en énergie entre toutes ses sources".
Il convient d'anticiper ces profonds changements et d'être présent dans cette course où de nombreux transferts de pouvoir financier et d'influence politique internationale vont être de mise.
 
 
Coût énergétique à la construction
Durée de vie - Apport énergétique
Bilan ratio
coût E / E produit
Energies fossiles
 
 
Energie nucléaire (fission)
 
 
Energie nucléaire (fusion)
 
 
Energie éolienne
 
 
Energie solaire
 
 
Energie hydrogène
 
 

Publié dans Geoéconomie et IE

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